Myriam Gendron

Myriam Gendron

Événement en personne
12 décembre 2024
20h00 – 23h00 / Entrée: 19h00

58 rue Meadow, Sherbrooke, QC, Canada
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Mayday est le troisième album de l’artiste Myriam Gendron, basée à Montréal. Il suit ses précédents albums Not So Deep As A Well (2014) et Ma délire — Songs of love, lost & found (2021), tous deux acclamés par la critique. L’expression musicale de Myriam se manifeste d’abord dans les stations du métro de Paris où elle interprète les chansons de Leonard Cohen, s’accompagnant à la guitare. Myriam découvre la poésie de l’écrivaine américaine Dorothy Parker, plus connue pour ses traits d’esprit que pour sa plume, alors qu’elle travaille dans une librairie montréalaise. Inspirée par les mots de Parker, Myriam compose de la musique sur laquelle ceux-ci trouveront leur appui avant d’enregistrer le résultat dans sa chambre. Ces enregistrements constitueront sa première parution sur disque et continuent aujourd’hui, par leur clarté, leur fraîcheur et leur humour, à ravir les auditeurs qui en font la trouvaille. Après une brève pause, Myriam commence à explorer les complexes traditions folk du Québec et au-delà, produisant le double album Ma délire qui combine chansons originales et traditionnelles, majoritairement en français, munies d’arrangements laissant l’espace aux interludes musicaux avant-gardistes d’interprètes tels que Bill Nace (Body/Head) et le percussionniste jazz reconnu Chris Corsano. Mayday représente une fusion encore plus syncrétique de ces éléments. La majorité des chansons représentent des compositions originales, à la fois en anglais et en français, et mélangent avec un abandon des éléments traditionnels et novateurs. Les instrumentistes incluent cette fois le bassiste montréalais Cédric Dind-Lavoie, aussi adepte du dynamisme trad/avant-garde, Bill Nace et la saxophoniste Zoh Amba, dont l’instrument obtient le « dernier mot » de l’album. Mayday se révèle un effort enivrant qui réussit à ouvrir de nouvelles perspectives sonores tout en maintenant un sentiment au croisement de l’intime et du familier.


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Mayday est le troisième album de l’artiste Myriam Gendron, basée à Montréal. Il suit ses précédents albums Not So Deep As A Well (2014) et Ma délire — Songs of love, lost & found (2021), tous deux acclamés par la critique. L’expression musicale de Myriam se manifeste d’abord dans les stations du métro de Paris où elle interprète les chansons de Leonard Cohen, s’accompagnant à la guitare. Myriam découvre la poésie de l’écrivaine américaine Dorothy Parker, plus connue pour ses traits d’esprit que pour sa plume, alors qu’elle travaille dans une librairie montréalaise. Inspirée par les mots de Parker, Myriam compose de la musique sur laquelle ceux-ci trouveront leur appui avant d’enregistrer le résultat dans sa chambre. Ces enregistrements constitueront sa première parution sur disque et continuent aujourd’hui, par leur clarté, leur fraîcheur et leur humour, à ravir les auditeurs qui en font la trouvaille. Après une brève pause, Myriam commence à explorer les complexes traditions folk du Québec et au-delà, produisant le double album Ma délire qui combine chansons originales et traditionnelles, majoritairement en français, munies d’arrangements laissant l’espace aux interludes musicaux avant-gardistes d’interprètes tels que Bill Nace (Body/Head) et le percussionniste jazz reconnu Chris Corsano. Mayday représente une fusion encore plus syncrétique de ces éléments. La majorité des chansons représentent des compositions originales, à la fois en anglais et en français, et mélangent avec un abandon des éléments traditionnels et novateurs. Les instrumentistes incluent cette fois le bassiste montréalais Cédric Dind-Lavoie, aussi adepte du dynamisme trad/avant-garde, Bill Nace et la saxophoniste Zoh Amba, dont l’instrument obtient le « dernier mot » de l’album. Mayday se révèle un effort enivrant qui réussit à ouvrir de nouvelles perspectives sonores tout en maintenant un sentiment au croisement de l’intime et du familier.


Myriam Gendron

Mayday est le troisième album de l’artiste Myriam Gendron, basée à Montréal. Il suit ses précédents albums Not So Deep As A Well (2014) et Ma délire — Songs of love, lost & found (2021), tous deux acclamés par la critique. L’expression musicale de Myriam se manifeste d’abord dans les stations du métro de Paris où elle interprète les chansons de Leonard Cohen, s’accompagnant à la guitare. Myriam découvre la poésie de l’écrivaine américaine Dorothy Parker, plus connue pour ses traits d’esprit que pour sa plume, alors qu’elle travaille dans une librairie montréalaise. Inspirée par les mots de Parker, Myriam compose de la musique sur laquelle ceux-ci trouveront leur appui avant d’enregistrer le résultat dans sa chambre. Ces enregistrements constitueront sa première parution sur disque et continuent aujourd’hui, par leur clarté, leur fraîcheur et leur humour, à ravir les auditeurs qui en font la trouvaille. Après une brève pause, Myriam commence à explorer les complexes traditions folk du Québec et au-delà, produisant le double album Ma délire qui combine chansons originales et traditionnelles, majoritairement en français, munies d’arrangements laissant l’espace aux interludes musicaux avant-gardistes d’interprètes tels que Bill Nace (Body/Head) et le percussionniste jazz reconnu Chris Corsano. Mayday représente une fusion encore plus syncrétique de ces éléments. La majorité des chansons représentent des compositions originales, à la fois en anglais et en français, et mélangent avec un abandon des éléments traditionnels et novateurs. Les instrumentistes incluent cette fois le bassiste montréalais Cédric Dind-Lavoie, aussi adepte du dynamisme trad/avant-garde, Bill Nace et la saxophoniste Zoh Amba, dont l’instrument obtient le « dernier mot » de l’album. Mayday se révèle un effort enivrant qui réussit à ouvrir de nouvelles perspectives sonores tout en maintenant un sentiment au croisement de l’intime et du familier.


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